Affichage des articles dont le libellé est coquillages. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est coquillages. Afficher tous les articles

dimanche 7 février 2021

Déco-coquillage

Tant qu'à rester enfermée, de surcroît un jour de mauvais temps, il me prend l'envie de ranger un peu le blog. A commencer par une rubrique que j'avais dû créer au tout début, et qui s'est plutôt fossilisée... (ce qui tombe bien puisqu'elle a trait aux coquillages et pierres fossilisées glanées ici et là).
Je vais donc de ce pas transformer cette rubrique fossile (sous forme de "page") en simple article, que voici 😉.

Coquillages, sable, bois flotté, verre poli... mais aussi graines, fleurs séchées, objets insolites et hétéroclites... Souvenirs de vacances (merci la Guadeloupe 💚) ou trouvailles rapportées de voyages, ou tout simplement conquises pour une piécette symbolique dans les vide-greniers.
Ils peuplent le jardin, la maison, et fleurent si bon le rêve, l'exotisme et le dépaysement en pleine banlieue parisienne !

...sur le rebord de la fenêtre de la cuisine

Composition délicate pour la commode de la chambre
Pendentif boite à pilule en argent et coquillage acheté à Dar-es-Salam
Bout d'ornement de porte en fonte trouvé par terre à Zanzibar
Panier garni d'éponges sur la terrasse
















  






La plupart des lambis qui "habitent" chez nous ont été récupérés avec moult dévotion : par hasard, en se promenant le long de la marina à Saint-François, en Guadeloupe, nous avions remarqué à travers l'eau verdâtre et glauque du port un endroit où semblaient reposer des lambis jetés là certainement après avoir été vidés par les pêcheurs (ou les restaurateurs du port). 

Un cimetière de lambis !

C'est vrai qu'à l'époque, on pouvait encore trouver facilement des fricassées de lambis dans les restos, et que les coquillages évidés se trouvaient facilement ou bien, tout beaux et brillants, s'achetaient dans les boutiques de souvenirs.
Ceux qu'on a trouvés dans le port, eh bien il a fallu que F. se jette à l'eau... une eau bien sale, et les ramasse un à un. Pouah.
Puis méga lavage des coquillages tout collants de mousse verdâtre et de mazout, désinfection à l'eau de javel, brossage... Et même vernissage. Et enfin, rapatriement en banlieue parisienne pour leur donner une deuxième vie où ils se pavanent comme des rois.
Ainsi, chez nous, les lambis sont partout : dans les arbres, sur les murets, dans les compositions de plantes grasses, et à l'intérieur, ils font aussi ce qu'ils veulent.
 
Aujourd'hui, mes parents me disent qu'il n'y a plus de coquillages ou de petite faune aquatique sur la plupart des plages de Guadeloupe, après de nombreuses années d'invasion par les sargasses. Ces algues brunes nauséabondes colonisent le littoral depuis 2011.

samedi 27 décembre 2014

Des lambis au jardin


Ce lambi (coquillage de la Guadeloupe) morcelé a sa place sur le bout d'un tuteur en fonte.
Il est transpercé d'une belle lumière : la photo a été prise le jour de Noël...















Deux autres lambis ont pris place au fond du jardin, suspendus à un vieux casier porte-bouteilles.

--> rubrique "coquillages"...

jeudi 12 juin 2014

C'est quoi ce zarbi ?

Cela fait un bout de temps que je n'ai pas alimenté mes photos zarbis.

Voici donc la photo bizarre du jour :
je vous laisse deviner...

Réponse demain !

--> voir d'autres "zarbis"

dimanche 30 juin 2013

Philippines et coquillages

boutique musée Quai Branly
Dans le cadre de l'exposition "Philippines, archipel des échanges" au musée du Quai Branly, plusieurs objets de la vie courante fabriqués à partir de coquillages et de nacre étaient exposés...

Produite naturellement à l'intérieur des coquillages, la nacre est une composition minérale sécrétée par les huîtres ou autres créatures marines pour se protéger des parasites et intrusions extérieures.

Couvre-chef - Pendants d'oreille - Ornements de ceinture
Collier Palangapang en nacre et osier - Bracelet
Ornement de ceinture - Collier ou accessoire de tête - Boucles d'oreille
 
Veste d'homme broderie de disques de coquillages - Veste broderie avec coquillages
Veste broderie disques de coquillage - Bouclier décoré de coquillages
Plastron perles et nacre (boutique) - Ceinture de chasseur et couteau
Parure nacre - Col d'armure brodé de cauris


Bijoux & objets en nacre des Philippines
en vente lors de l'expo

--> rubriques "Coquillages" et "Expos" du blog...

dimanche 26 mai 2013

Lavande papillon, ail ornemental, géraniums vivaces, heuchères : c'est rose et violet !

Ail ornemental
J'ai choisi les tons violets et roses pour illustrer cette semaine toujours tristounette... Mais le jardin ne semble n'en avoir cure et continue son petit bout de chemin, avec de nouvelles fleurs succédant aux précédentes.


Géranium sauvage
et luzerne arborescente
Les aulx se dressent majestueusement au-dessus des géraniums vivaces roses/violets. C'est du plus bel effet.

Quelques pieds de géranium sauvage (le géranium du pauvre, comme l'appelait ma grand-mère Cécile, qui l'appréciait beaucoup - et moi aussi) poussent au beau milieu du buisson de luzerne arborescente avec ses grappes de fleurs jaunes.


Lavande papillon et tuteur coquillage

Ma lavande papillon arbustive est déjà en fleurs en cette 3e semaine de mai (et pourtant vu le temps, je ne l'attendais pas avant l'été...). Sur la photo, un de mes tuteurs "coquillage de Guadeloupe" (que j'ai vernis, car il reste toute l'année dehors).

Heuchères roses

Je dois reconnaître qu'en ce dimanche 26 mai, nous avons eu...du soleil !
Quelle incongruité...
Cela a donc donné lieu à un bal incessant d'abeilles et bourdons, qui ne savaient plus où donner de la tête entre les fleurs des géraniums vivaces roses/violets et les délicates fleurs de mes heuchères roses.
Parfois dans leur précipitation certains s'approchaient des ombelles fleuries (violettes) de l'ail ornemental et rebroussaient vite chemin : l'ail ornemental sent tellement fort que personne ne vient le titiller !























Escargots en plein complot dans ma rocaille...
Allez je vous offre 2 instantanés d'abeilles amoureuses de mes belles heuchères : photos d'autant plus difficiles à prendre que l'heuchère est aussi connue sous le nom de "désespoir du peintre", et par extension, je vous confirme qu'elle constitue mon désespoir absolu de photographe !

Et pour finir cette semaine fleurie, au milieu de ces beautés, qu'aperçois-je : un conciliabule d'ennemis, des gastéropodes petits-gris (je pense voir un bourrelet blanc, donc cela écarte le gros-gris...).
Les chameaux  allaient se préparer une belle dégustation dans ma petite rocaille pleine de pousses de succulentes. Sans vergogne ! Ils sont vite allés voir ce qui se passe dans les taillis de l'autre côté du mur !

mercredi 22 mai 2013

Paul Jacoulet et les coquillages


L'affiche retenue pour illustrer l'exposition consacrée à Paul Jacoulet est un jeune homme buvant dans un coquillage nautile. Elle est splendide, lumineuse et invite au voyage (surtout quand on a la découvre sur les murs du métro !).

Ce tableau s'appelle "Le Nautilus"  (Yap, avril 1958, gravure sur bois polychrome). Ce qu'en dit l'artiste : "Guiltamag, jeune homme de l'île de Yap (Carolines Ouest) buvant dans un coquillage "Nautilus" dont l'extérieur est de poudre de perle. Peigne et ceinture de célibataire. Il porte un collier de corail. Des oiseaux survolent une mer bleue tropique."

Ce que précise l'expo : "La qualité technique d'impression de l'estampe met en valeur la luminosité éblouissante des îles du Pacifique. Cette impression de clarté est bien rendue par le contraste des couleurs traitées en grands aplats. Les dégradés de rose des nuages sont obtenus quant à eux par les variations de pression du papier sur la matrice de bois, lors du tirage."
Méli-mélo perso d'œuvres présentées au Quai Branly
1/ Basillo, Jeune Garçon de Saipan tenant des coquillages, Marianes, 1933
2/ et 6/ détails de femme tatouée de Falalap, Ouest Carolines, 1935 (avec coquillages très rares "Cypris aufore")
3/ Conque et cauri de Micronésie
5/ et 7/ colliers en nacre sur homme et femme
Mon bracelet en nacre (très discret)
et mon collier "nautile"
J'ai choisi de photographier - ci-dessus - (ah la galère de prendre une photo derrière une vitre...) les deux personnages portant un collier de nacre, car ils m'ont fait penser à un surprenant (et énorme) bracelet de nacre que j'ai déniché dans un dépôt vente parisien pour 20 € (cf. photo contre)... 
Ce sera mon petit hommage personnel à P. Jacoulet quand je le porterai. Du reste, je pourrais aussi le porter en pendentif... L'un comme l'autre sont fort discrets... mais si beaux !


Ornements d’oreille, Îles Carolines

Fin du 19e siècle
écorce de noix de coco
, corail, perles et coquillages

Au sujet de l'utilisation des coquillages dans la vie quotidienne, le dossier de presse de l'exposition du musée Branly précise :
"Dans les archipels de Micronésie, Paul Jacoulet découvre des sociétés qui font de la parure une forme d’expression artistique majeure. Il s’émerveille devant ces cultures dans lesquels hommes et femmes ont un même souci d’embellissement du corps, à travers les tatouages, l’usage d’ornements de chevelure et de fleurs.


Chant des vagues, Ponape,
Est Caroline (1930)
Traditionnellement, le port des bijoux est aussi indissociable des danses cérémonielles. Transmis d’une génération à l’autre par les femmes, les colliers, ornements d’oreilles et bracelets constituent le plus précieux des héritages familiaux. Les coquillages, coraux et écailles de tortues utilisés pour leur fabrication figurent en effet parmi les grandes richesses pour les sociétés vivant de la proximité de l’Océan."

Pour en revenir à Paul Jacoulet et les coquillages, j'ai découvert sur le World Wide Web une gravure de l'artiste dépeignant un jeune éphèbe écoutant le chant des vagues dans un superbe coquillage.
Ce chant des vagues (1930) ne figurait pas à l'expo. J'aurais tant aimé admiré de près ce si beau coquillage...


--> Voir article sur l'exposition "L'univers flottant de  Paul Jacoulet et la rubrique "COQUILLAGES" de ce blog...

samedi 4 mai 2013

Des coquillages en cabinets de curiosité

Promenade familiale le 1er mai à Paris (sous des trombes d'eau...), sur le chemin du Musée en Herbe et de l'expo Hundertwasser...
Oeuvres de Maissa Boulet, vitrine Paris
Au détour d'une rue (37 rue Coquillière, Paris1er), me voici nez à nez avec un joli bout de vitrine d'où pointent des coquillages, petits arbres de coraux et autres adorations. En m'approchant, j'ai constaté que j'avais affaire à de minis et originaux cabinets de curiosité.

Cette vitrine montre quelques réalisations de l'artiste Maissa Toulet, dont voici un extrait de la page d'accueil de son site Web :

"Vers l’âge de 30 ans, après des études de littérature et un bref passage dans l’enseignement peu concluant, je me remets à collecter des objets et je les assemble dans des boites vitrées ou entièrement transparentes, en m’inspirant des cabinets de curiosités, qui m’ont toujours attirée pour leur fatras hétéroclite, leur désordre organisé et enfin la juxtaposition de formes naturelles souvent incroyables et si étranges qu’elles basculent facilement du côté de l’imaginaire (créatures fantastiques, croisement d’espèces…)."
J'aime beaucoup  sur le site de cette artiste son oeuvre intitulée "Sous les mers"...

Coquillages sous cloche, vitrines à Paris et à Troyes

Les mots de cette artiste résonnent parfaitement en moi, je dois être un double caché de Maissa, j'adore collecter des objets et les mettre en boite !
Et mon bureau ressemble à un amas de cabinets de curiosité du siècle passé.

Toutefois, je m'en tiens aux coquillages, coraux, boutons, billes et autres trésors ramassés à peu près partout (dernièrement, ô joie, j'ai trouvé un trésor dans un buisson : une petite Hello Kitty).

J'ai aussi mis de côté deux bourdons morts, dans l'attente d'un déclic artistique... Mais c'est là ma seule incursion dans le macabre.

La mosaïque de photos ci-contre réunit des clichés pris dans des vitrines à Paris et à Troyes. En bas à gauche, il me faut préciser que l'on voit le reflet de la rue (et du peu sexy passage piéton) qui se juxtapose à un superbe corail.

--> Voir  les petits articles "coquillages" ici et là sur mon blog ou ma page "DECO'QUILLAGES(toujours en construction  celle-là - faudrait que j'avance dans mes travaux !)

dimanche 29 juillet 2012

Vitrines de corail et coquillages

Dans Paris, en banlieue, quelques dernières vitrines déploient des trésors de coquillages et d'ambiance mer et plage.

Ainsi: glanés ici et là, des instantanés des vitrines magnifiques de la boutique Fragonard à Paris dans le Marais, de la boutique de la Pinacothèque près de la Madeleine, et de parfumeries en mode plage.
Les colliers inspirés de branches de corail sont à l'honneur.

Coquillages exotiques, nautiles, étoiles de mer, vraies ou en savon... Foulard, sac, coussins, mobiles, lampe "oursin"... Le voyage dans les mers du Sud est à portée de regard et de rêve.



-> Autres instantanés "coquillages"...

jeudi 28 juin 2012

Corail et coquillages dans la cité

Les vitrines et les affiches puisent leur inspiration dans les fonds sous-marins cet été :



Le corail resplendit...

Les coquillages sortent des cabinets de curiosité...

Les publicitaires et décorateurs nous font rêver.












(NB. Ce collage est réalisé à partir des affiches - dans le RER - du Chateau d'Ecouen et de la pièce de théâtre "Plein la vue", et d'une vitrine de la boutique de linge de maison Y. Delorme, à Paris).
Tout cela est aussi du "street art" !


--> Voir la petite rubrique "coquillages" sur ce blog...

jeudi 14 juin 2012

Coquillages : L'art est dans le lambi

Il était temps que j'aborde le thème des coquillages dont je suis une passionnée !
Connaissez-vous le LAMBI ?

C'est un gros coquillage qui fait rêver tous les métropolitains n'ayant pas la joie d'habiter aux Antilles... La première fois que j'ai vu un lambi en Guadeloupe, il traînait sur le port tout enduit de saletés, poissant de carburant de bateaux et algues malodorantes.
Je me suis jetée sur lui. Je l'ai vénéré.
Bien sûr, je lui ai fait prendre son bain d'eau de javel, et je l'ai admiré qui progressivement recouvrait une belle teinte rosée.

A Saint-François...
Après cela, nous avons découvert la fosse à lambis : un endroit du port où les pêcheurs après avoir vidé les lambis, se débarrassaient des coquilles en les jetant à l'eau. Toutes gisant au même endroit... un endroit dégueu mais si merveilleux !
Et c'est mon mari qui est allé patauger dans cette eau sale et visqueuse pour ramasser ce qui allait devenir mes trésors !

Voilà pourquoi les lambis peuplent ici maison et jardin. Mais pour les protéger du froid hivernal, j'ai passé au vernis bateau ceux qui restent au jardin. Ils sont toujours aussi beaux. C'est ma conque à rêves, le lambi.

Très apprécié dans la cuisine caribéenne, le lambi se déguste en fricassée. La pêche en est très réglementée car ce mollusque a été menacé par la surpêche.

Appelé lambi aux Antilles françaises, ce coquillage est couramment dénommé strombe géant en français, caracol rosa au Mexique, Queen conch en anglais.

Cette année, le lambi semble à la mode :
  • un beau coquillage y ressemblant fort figure en premier plan sur une affiche de pub pour des célèbres cours et stages de révisions scolaires,
  • et au Palais de Tokyo à Paris, une drôle d'oeuvre d'art met en scène un gros lambi enfermé dans un casque d'escrimeur (composition de l'artiste roumain Victor Man). Je pense avoir beaucoup d'idées pour caser mes lambis dans mon décor quotidien, mais ... dans un casque d'escrime, c'est, disons, insolite.
Composition avec lambi de Victor Man au Palais de Tokyo
Affiche (détail) sur quai du RER

En savoir plus : Site informatif sur le lambi (médiathèque des Caraïbes)

mardi 17 avril 2012

Le zarbi : Titanic (suite) - L'épave, l'escargot et les poissons...

Grospèpère scotché à la vitre, avec le Titanic en arrière-plan
Résumé du 1er épisode : L'un de nos enfants (que nous ne nommerons pas) avait un jour décidé de faire couler sa belle maquette du Titanic... au fond de notre aquarium à poissons. Lire l'article...

Ce fut certainement au début une drôle de surprise pour les poissons et escargots d'eau de notre aquarium. Mais rapidement, les escargots ont commencé à ramper sur l'épave, s'engouffrer dedans, idem pour les poissons rouges ! Le Titanic (maquette) découvrait enfin "la folle vie aquatique", c'est certes plus amusant que de s'empoussiérer sur l'étagère dudit enfant...

Et voilà comme promis la vidéo
(NB : en bas à gauche de l'épave, figure notre héros "GrosPèpère", notre plus gros escargot - arrivé chez nous clandestinement caché dans une des plantes de l'aquarium - il y a un zoom sur Grospèpère en fin de vidéo...) :


Et en prime, une deuxième vidéo mettant en scène en gros plan collé sur la vitre, notre formidable "GrosPèpère", complètement fan du Titanic (mais pour le tournage de la vidéo, GrosPèpère a fait son délicat et n'a pas voulu décoller de la vitre...). Vie de star ... go ! (vous avez capté le super jeu de mots :=))


Pour finir, félicitations renouvelées à  notre enfant de 6/7 ans qui consacrait tant d'application à dessiner le Titanic. Et voici donc ce que vous n'avez jamais vu ailleurs : LE DOUBLE TITANIC !


Avis aux amateurs d'oeuvres d'art
: ces dessins ne sont hélas pas à vendre. Ils garnissent le mur descendant à la cave...

lundi 16 avril 2012

"Noir Venin" : combinaison de tulipes noires et méduse

C'est la dernière fois que je prononce le mot "tulipe" ce mois-ci, promis...
mais les tulipes noires qui m'ont fait la joie de fleurir récemment m'ont tellement subjuguée que j'en ai remis un couvert sur le blog !

et comme j'aime aussi beaucoup admirer ma méduse, noir violine elle aussi, posée à côté de l'ordi : je les ai mariées en photo.

Cette méduse est un magnifique presse-papier fabriqué par un artisan souffleur allemand, acheté lors d'une rare virée à Paris.
(merci Nathalie de m'avoir confortée dans mon choix !).

Evidemment, nous avons une histoire de méduse dans la famille : la vilaine "méduse à Colas" qui avait piqué le petit alors qu'il se baignait dans si peu d'eau à Grayan. Sacrée méduse !

Après cela, nous avions vu des consoeurs méduses échouées sur la plage : assez peu amènes comme créatures, visqueuses, sens dessus dessous... Bref, elles ont fini dans la boite et basta ! (dans la boite = dans l'appareil photo - non, on ne les a pas gardées dans du formol, et non, aucune n'a été utilisée pour ma méduse presse-papier ! beurk !).

Bon, un conseil aux âmes sensibles: s'abstenir de regarder les portraits de méduses bordelaises ci-dessous !

NB : Sont-ce bien des méduses, ces bidules ? Nous l'avons présumé, mais la chose du milieu ressemble avec une pointe d'imagination à l'ovni de "2001 l'odyssée de l'espace"... (Euh, en quelle année déjà sommes-nous allés en vacances à Grayan ??!).

vendredi 20 janvier 2012

Féérie de coquillages



Pendant les fêtes de fin d'année,
nous sommes allés,
en famille et avec Maxine et Lizzie,
voir les vitrines de Noël des grands magasins...
Ô belle surprise :
le Printemps avait mis en scène
des paysages de plage,
coquillages, accessoires précieux...


C'était féérique !
Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...