A tous ceux qui se souviennent des fleurs, fougères, herbes sauvages que l'on voyait à profusion à la campagne, comme ce fut mon cas dans le Gâtinais, au sud de la Seine-et-Marne, voici une nouvelle qui reflète le recul de la nature face à notre civilisation très matérialiste...
Une "Liste rouge régionale de la flore vasculaire d’Île-de-France a permis d’établir que 85 espèces végétales (6%) semblent avoir disparu de la région depuis le 18e siècle et 400 autres (26%) sont aujourd’hui menacées. Parmi celles-ci, 128 courent un risque majeur d’extinction (8%) dans les prochaines années."
Une "Liste rouge régionale de la flore vasculaire d’Île-de-France a permis d’établir que 85 espèces végétales (6%) semblent avoir disparu de la région depuis le 18e siècle et 400 autres (26%) sont aujourd’hui menacées. Parmi celles-ci, 128 courent un risque majeur d’extinction (8%) dans les prochaines années."
"La destruction et la dégradation des habitats naturels représentent la principale cause de régression des espèces végétales. L’urbanisation et les changements de pratiques agricoles sont responsables de la disparition progressive de nombreuses espèces comme l’Adonis d’automne, petite plante compagne des cultures, classée en « danger critique d’extinction »."
NB : Le quart de la flore française métropolitaine est présent en Île-de-France...
Ce billet m'a donné l'idée de ressortir l'herbier commencé quand j'étais enfant... A suivre !!!
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