Incipit : "Appuyé sur sa canne, Jean Moreau est entré à petits pas dans la cuisine la bouche grande ouverte, pour prendre de l'air."
Vite lu, vite embrouillée dans les allers retours dans le temps, dans la kyrielle de personnages peu sympathiques, pas intéressants du tout, dans le manque de vraisemblance de l'histoire, la fin encore plus décevante que le tout (non mais l'avion ! et le devenir du couple !). Tout m'a semblé tellement tiré par les cheveux. Même l'écriture m'a paru insipide.
Vite lu, vite embrouillée dans les allers retours dans le temps, dans la kyrielle de personnages peu sympathiques, pas intéressants du tout, dans le manque de vraisemblance de l'histoire, la fin encore plus décevante que le tout (non mais l'avion ! et le devenir du couple !). Tout m'a semblé tellement tiré par les cheveux. Même l'écriture m'a paru insipide.
Grosse déception... Heureusement que je n'en avais que pour 140 pages.
Rien à voir avec le premier roman de Pierre Szalowski "Le froid modifie la trajectoire des poissons", que j'avais beaucoup aimé.
Rien à voir avec le premier roman de Pierre Szalowski "Le froid modifie la trajectoire des poissons", que j'avais beaucoup aimé.
En parallèle, je recommence l'expérience du Prix littéraire France/Québec : trois livres à lire et élire le meilleur...
En 2015, ce fut le magnifique roman de Roxanne BOUCHARD "Nous étions le sel de la terre" qui avait emporté mon adhésion... mais ce fut "Mort-Terrain" de Biz qui gagna le prix (tout de même mon 2e choix, et très bien aussi !).
--> ma p'tite chronique "Québec"
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