dimanche 18 mai 2014

YES live... mythique rock progressif

Le groupe YES fait une de ses dernières tournées en jouant intégralement trois de ses grands albums : The Yes Album (1971), Close to the Edge (1972) et Going for the One (1977). Et pas de Fragile !!! mais en rappel tout de même le magique Roundabout de l'album Fragile (1971).
YES se produit rarement en concert, il ne fallait pas manquer ce moment exceptionnel qui plus est dans la salle si Art Déco du Grand Rex à Paris (bonne acoustique, proximité avec la scène, fauteuils moelleux... appréciables après la journée de travail , mais on aurait pu rester debout en transe si la salle l'avait permis !, le seul "F...k" fut la panne totale de mon si fidèle Lumix en pleine capture de Roundabout !!! une hérésie de Panasonic, en suis encore mortifiée).

Video YES : "And You and I"

Le groupe comprenait quasiment 4 membres de la formation originelle : Chris Squire (né en 1948) à la basse, Steve Howe (1947) à la guitare, Alan White (1949) à la batterie, Geoff Downes (1952) aux claviers, et Jon Davison (1971) au chant (le p'tit jeune, qui est presque l'homonyme de Jon Anderson, le chanteur d'origine).

"Close to the Edge" (1972) 
- Close to the Edge (I. The Solid Time of Change - II. Total Mass Retain - III. I Get Up I Get Down - IV. Seasons of Man)
- And You and I (I. Cord of Life - II. Eclipse - III. The Preacher the Teacher - IV.Apocalypse)
- Siberian Khatru
Video YES : Siberian Khatru

"Going For The One" (1977)
- Going for the One
Video YES : Going For The One

- Turn of the Century
- Parallels
- Wonderous Stories

- Awaken

"The Yes Album" (1971) 
- Yours Is No Disgrace
Ah le bon son des '70, les claviers, les grattes, les lyrics que l'on connaît par coeur ! Un soupçon de Uriah Heep, de King Crimson etc... mais au final , yes du YES ! 
Video "Yours is no disgrace"

- Clap (Steve Howes en solo)
- Starship Trooper (I. Life Seeker - II. Disillusion - III. Würm)
- I've Seen All Good People (I. Your Move - II. All Good People)
- A Venture

- Perpetual Change

Rappel : Roundabout

NB : A ceux qui ne connaîtraient pas YES... z'avez p't-être déjà entendu le moins ancien et plus "dancefloor" "Owner of a Lonely Heart" (1983, "Move yourself, you always live your life, Never thinking of the future, Prove yourself, You are the move you make, Take your chances win or loser ...") ?

Bon, après ce Memory Tour, je me dois de saluer tous mes amis du lycée avec lesquels je découvris YES et tant d'autres pépites !!
(Coucou Isa, Rémi, et les Globulos, Titou, Philippe, Eric et tous !!! BIZZ rock'n'roll will never die !!!
- oh la la si mes enfants me lisaient.., ah mais ouf... ils savent quand même jouer Neil Young et Nirvana à la guitare!)

--> "Video Killed the Radio Star" (Geoff Downes/The Buggles), la chronique "ZIQUEMU" et la page "concerts"...

Red Code : larves coccinelles asiatiques !

Oeufs de coccinelle (jaunes) sur mon pin
(+ mouche en bonus sur l'aiguille supérieure)
Cela faisait un bail que je n'avais pas sérieusement examiné mon jardin sous toutes ses coutures... (voui, temps pourri, bibi reste au nid !).

Aujourd'hui, armée de tous mes outils de jardinage, où que j'aille et quoi que je fasse... je tombai sur une larve de coccinelle. Il y en avait PARTOUT ! Une invasion.
Je dégaine donc l'appareil photo, et me dis en passant "ben zut faut que je vérifie, mais ça ressemble à des coccis asiatiques, les maudites !
Bon je pose l'appareil et poursuis ma mission du jour : désherber et redonner quelque apparence à mon jardin de curé.

Et voilà-t-y-pas qu'en pleine taille de mon arbuste "luzerne arborescente" qui commençait à déborder de toutes parts après sa belle floraison jaune... Je pousse un cri strident : une bête me pique ou me mord à la cheville (découverte) : et le temps de lui écraser ma paume sur la tronche, je pense avoir aperçu la silhouette d'une larve de coccinelle asiatique (= couverte d'épines souples et pourvue de deux bandes dorsales parallèles orange).
Larves de coccinelle asiatique - En bas : larve de coccinelle européenne (gauche) agressée
par une grosse larve de coccinelle asiatique (18/05/2014)

Mince, ça pique ces trucs-là ?? En tout cas, la "piqûre" m'a démangée tout l'après-midi.
Et le pire fut que je passai mon temps à croiser le chemin de ces larves, elles étaient partout. Même venue une petite pause vers 17h15, je me prépare à occuper le relax quand je découvre que 5 larves m'ont devancée et se prélassent sur les coussins ! Alors-là, du jamais vu...

Dire que l'an dernier, j'avais remarqué l'absence quasi totale de coccinelles dans mon jardin pourtant non traité, alors que, deux années auparavant, les coccinelles pullulaient.
En continuant mon jardinage, je suis tombée sur ce qui ressemblait à un affrontement entre une larve de coccinelle européenne (voir photo, image du bas, larve de gauche) et une bien plus imposante larve asiatique
Ce fut la seule larve de cocci européenne que j'ai croisée dans la journée, au regard de dizaines de larves de cocci asiatique...

Il faut savoir que la coccinelle asiatique est une espèce invasive, et quand la larve ne trouve pas son content de pucerons ou cochenilles à manger, elle se rabat sur les oeufs ou les larves de coccinelles européennes qui sont en danger !!!

Hélas mon jardin est la preuve de ce phénomène, c'est la mondialisation.

--> la rubrique "coccinelles" du blog !

samedi 17 mai 2014

"La Petite Galerie de Picasso" : un livre beau à tomber !!!

Quelques animations du livre La petite galerie de Picasso
***** Patricia Geis (2013), Editions Palette, grand format 16 p.
Une petite merveille !
J’ai dévoré ce livre pour enfants et dégusté chaque page, conquise par les surprises que chacune d’elles recèle. Il s’agit d’un véritable livre animé, et quel plaisir a le lecteur, quel que soit son âge, d’ouvrir les fenêtres pop-up, les différents rabats et de jouer avec tous les petits mécanismes : un miroir pour découvrir son image « cubiste », un masque africain qui nous apprend que Picasso aimait les arts primitifs, une guitare qui se déplie et nous sommes abasourdis de découvrir qu’elle a des cordes en ficelle ! (L'objectif étant de montrer aux enfants, euh pardon, au lecteur car je ne suis plus dans ma prime jeunesse, que l'on peut peindre le même objet sous plusieurs angles à la fois).
Je n’avais pas dans les mains un simple livre pour enfants, j’avais un livre trésor ensorcelant.

Et j’en ai appris des choses sur Picasso !
Car ce livre a l’avantage de mettre en perspective les œuvres de Picasso au cours de ses différentes périodes, et de suivre le fil rouge de ses œuvres de jeunesse, depuis l’âge de 7 ans jusqu’à ses vieilles années. Très intéressantes comparaisons de ses tableaux peints enfant ou adolescent et de ses œuvres ultérieures. Un quiz nous demande ainsi de deviner à quel âge Picasso a peint différents tableaux : les réponses sont impressionnantes, et ce petit jeu m’a vraiment amenée à porter un regard nouveau sur l’œuvre de Picasso.

 « A douze ans, je savais dessiner comme Raphaël, mais j’ai mis toute une vie à apprendre à dessiner comme un enfant. »

Le livre apporte aussi des points de comparaison entre Picasso et certains peintres contemporains de son époque : Braque, Gauguin Van Gogh… Une des petites représentations de tableaux de Braque (Maison à l’Estaque, 1908) est légendée de la remarque formulée par Matisse : « Ce Monsieur Braque, mon grand ami, au lieu de peindre des maisons, peint des cubes. » Ainsi était née l’expression « cubisme »…

Je n’ai qu’un conseil : à acheter pour soi, et à offrir aux petits mais aussi aux grands ! Et je dois avouer une dernière chose : je n'ai pourtant jamais été une inconditionnelle de Picasso ( j'ai quand même vu Guernica à Madrid). Ce livre change mon regard, de même que la série de BD "Pablo" de J. Birmant et C. Oubrerie, que je viens d'entamer...)
Et je vais m'empresser d'acquérir dans la même collection "La petite galerie d'Andy Warhol" (il y a aussi Calder, Magritte, La Joconde...).
Merci mille merci aux Editions Palette et à Masse Critique de Babelio de m'avoir permis de découvrir ce livre oeuvre d'art.

--> chroniques "enfants" et "peinture" de ce blog

Dona Tartt : "Le chardonneret"

***** (The Goldfinch, 2013) Réf. géogr. Etats-Unis/Pays-Bas - Ed. Plon/Feux Croisés, Trad. E. Soonckindt, 787 p.
Lauréat du Prix Pulitzer 2013

- "The Goldfinch is a rarity that comes along perhaps half a dozen times per decade, a smartly written literary novel that connects with the heart as well as the mind....Donna Tartt has delivered an extraordinary work of fiction." (Stephen King/The New York Times Book Review)
- "Donna Tartt's long‑awaited third novel is an astonishing achievement" (The Guardian)
- "Donna Tartt’s giant new masterpiece about a small masterpiece by Carel Fabritius" (The Washington Post)
- "Magistral" (Télérama)
- "Envoûtant" (Le monde des livres)
- "Extraordinaire" (Le Figaro Magazine)
- "Somptueux" (Elle)
- "Virtuose" (Le Point) 
- "Magique" (Les Inrockuptibles)

Alors l'humble avis de bibi après ces louanges dithyrambiques... Parlons-nous du même livre ?
Euh, un pavé bien écrit mais d'une longueur... à vous déprimer d'avoir osé entamer un livre acclamé par le monde entier mais trop trop long : comment y venir à bout sans renoncer ? D'emblée, j'aurais fait sauter un bon quart si ce n'est plus de ce pavé de quasi 800 pages, tellement le lecteur est soumis à une overdose de détails.
En parlant d'overdose, j'avoue avoir été saturée de l'omniprésence de la drogue dans ce livre. Chaque page a son content d'info sur les cachets dont ne peut plus se passer Theo, et quasi tous les gens avec qui il est en contact. Drogue, alcool, cigarettes, paradis artificiels comme unique et redondante réponse au mal-être quotidien. Cela m'a gonflée, j'en avais ma dose

Les points d'intérêt : le passages sur le vie du jeune Theo à 13 ans quand, convoqué pour bêtises au collège avec sa mère, tout bascule de façon dramatique. L'orage, le musée, l'attentat, la mort de la maman, le réconfort d'un antiquaire mourant et le vol du tableau représentant le petit chardonneret... Puis le refuge dans une famille new yorkaise bourgeoise avec des passages instructifs sur cet environnement privilégié. 
Autres point d'intérêt : la description du Las Vegas périphérique et isolé, si éloignée de notre imaginaire. Là où commence la descente dans les paradis artificiels de Theo avec son pote Boris... Deux ados livrés à eux-mêmes dans une Amérique indifférente. Sidérant.
Puis de belles pages sur le milieu de la restauration d'antiquités, quand Theo a trouvé refuge chez le si digne et distingué Hobbie, et sur la peinture.

J'arrête là l'histoire. Étiqueté thriller, le roman ne l'est pas du tout hormis une scène finale gore à souhait aux Pays-Bas. Quant à l'intrigue sur le vol du Chardonneret ... elle se dilue rapidement et ne fait réapparition que pour clore le livre.

Conclusion : Dona Tartt a mis 10 ans à écrire ce livre, le malheureux lecteur ne dispose pas de 10 ans pour en venir à bout en toute quiétude en lisant chaque mot de chacune des pages. Donc c'est la course contre la montre pour venir à bout de chacune de ces 800 pages, et cela gâche le plaisir de la lecture. Je ne m'en suis sortie que grâce aux ponts du mois de mai... Mais je me suis dit : ah que n'aurais-je plutôt consacré ce temps à me régaler par exemple du québécois Jacques Poulin ou du dernier John Le Carré ? Bon, ce qui est fait est fait, et j'aurai un nouveau but de visite à Amsterdam : ce petit tableau peint en 1654 par Carel Capricius...
NB : je me pose de sérieuses questions... sur le sérieux des critiques littéraires ! Comment ont-ils eu le temps dans leur vie d'avaleurs de livres, de venir à but de ce pavé, et pourquoi ces louanges à n'en plus finir sur un livre bien écrit mais sans rien d'exceptionnel ???

--> ma chronique "Lectures d'Amérique du Nord"

vendredi 16 mai 2014

Video killed the radio star !

Steve Howe (guitares x2 !) et Geoff Downes (keyboards)
YES concert in Paris / 13 May 2014
2  YES members & 2 ex-ASIA !
Chanson des BUGGLES sortie en 1979...
Qu'est-ce qu'on l'a écoutée ! On avait le 45 tours of course !
"Video killed the radio star - In my mind and in my car - We can't rewind we've gone to far Oh-a-aho oh - Oh-a-aho oh - Pictures came and broke your heart - Put the blame on VCR..."

Eh bien les Buggles, c'était le duo "new wave" anglais formé par Trevor Horn et Geoff Downes.

Pourquoi je parle de ça, en 2014 ?
... parce qu'avant-hier au concert du groupe de rock progressif YES, c'est Geoff Downes himself qui faisait les claviers !!!

Sacré claviériste ! qui après la parenthèse New wave, avait fondé en 1981 le groupe ASIA avec d'anciens membres de YES (le guitariste Steve Howe), d'Emerson, Lake and Palmer (le batteur Carl Palmer), et de King Crimson/Uriah Heep (le bassiste John Wetton).
Je suis sûre que j'avais le 33 tours (Asia, 1982) ou l'un de mes frères... avec les tubes :
YES concert -in Paris / Le Grand Rex, May 13, 2014

  • "Heat of the Moment"
    ("It was the heat of the moment - Telling me what my heart meant - The heat of the moment showed in your eyes - And now you find yourself in '82 - The disco hot spots hold no charm for you - You can concern yourself with bigger things - You catch a pearl and ride the dragon's wings")
  • "Sole Survivor"
    (I was the sole survivor / solitary fire...)
  • "Only Time will Tell"
    (You're leaving now it's in your eyes - There's no disguising it - It really comes as no surprise - To find that you planned it all along - I see it now becomes so clear - Your insincerity - And me all starry eyed - You think that I would have known by now - Now sure as the sun will cross the sky - This lie is over - Lost like the tears that used to tide - Me over (Only time will tell) One thing is sure - That time will tell (Only time will tell) If you were wrong - The brightest ring around the moon - Will darken when I die...")
Fameuse pochette avec un serpent gigantesque jaillissant de la mer, réalisée par le même graphiste que celui qui officiait pour les pochettes de YES (Roger Dean).

Bon, avec le recul et la bouteille, le disque sonne plus comme du rock progressif "commercial" comparé aux morceaux plus aboutis de YES, mais on aimait ! et tant d'années après, les paroles me reviennent spontanément : c'est dire que ça a été écouté et ré-écouté en son temps...
Une légende sur scène : YES...
Steve Howe (born 1947), Geoff Downes (1952), Jon Davison (1971), Alan White (1949) , Chris Squire (1948)
--> la chronique "ZIQUEMU" et la page "concerts"...

Les Terracota Daughters chinoises de Prune Nourry

Au Cent-Quatre à Paris, se déroule l'expo "Avec motifs apparents" qui réunit plusieurs artistes. Expo très éclectique, où je suis passée à côté des oeuvres de 3 artistes sur les 4 exposés...

En effet, le seul travail qui m'a intéressée est celui de l'artiste française Prune Nourry, avec ses  "Terracota Daughters". Cette armée d'écolières chinoises en terre cuite vaut vraiment le détour, mais il faut absolument visionner le petit film qui accompagne cette oeuvre, un film très intéressant. 

Directement inspirée par la célèbre armée de terre cuite de Xi’an, cette artiste française a constitué sa propre armée de Terracotta Daughters pour illustrer la problématique du déséquilibre démographique en Chine lié à la politique de l'enfant unique et la sélection du sexe qui en a découlé (soit des bébés filles tuées à la naissance faute d'être née "garçons").

Ce sont donc plus de 100 fillettes en grandeur nature, en rang, qui accueillent le visiteur dans la grande halle centrale du 104.
Le film dévoile l'histoire de ces statues : à la base, Prune Nourry a photographié 8 fillettes d'un orphelinat en Chine, elle a fait ses moulages d'après les portraits des fillettes, puis des artisans chinois spécialistes de la sculpture sur terre cuite ont pris le relais en créant des différences dans les chevelures (qui des couettes, qui une queue de cheval, ou les cheveux courts, une barrette...), les traits (nez, écarquillement des yeux...) de ces moulages pour qu'au final, chaque statue soit légèrement différente. Cependant toutes portent le même habit et le même foulard noué.
Ces artisans ont l'habitude par exemple de faire des reproductions de qualité de l'armée de terre cuite enterrée.



Prune Nourry a déjà présenté son armée de Terracotta Daughters à Shanghai. Cela vaut la peine d'aller admirer ces fillettes à Paris car il est annoncé qu'en 2015 l'ensemble sera enterré dans un lieu secret jusqu'en 2030... lorsque le déséquilibre démographique de la Chine se fera réellement sentir.


Favelas & Empty Gift
- Pascale Marthine Tayou (artiste plasticien camerounais) : ok pour les nichoirs à oiseaux reproduisant une certaine vision des habitats urbains (Favelas, 2012). Mais une seule de ces oeuvres aurait peut-être suffi à faire passer le message.
Sa boule géante composée de paquets cadeaux vides (Empty Gift, 2013) tournant comme un immense strombinoscope est jolie, je le reconnais, mais puis-je dire que cela n'illustre pas vraiment à mes yeux une oeuvre d'art. Mais cela fait son effet... En revanche, son oeuvre "Court-Circuit (2014) ne m'a pas emballée du tout, une horreur avec des vieux postes TV suspendus en l'air à des poteaux, des fils électriques et du bric-à-brac : comme une décharge en plein ciel...
- Jérémy Gobé a lui entouré de tricot des meubles, un plafond... (La liberté guidant la laine, 2014). Vraiment sans plus...
- Xavier Juillot a recouvert de film aluminium le château d'eau du 104, l'oeuvre s'appelle "Déprime passagère" (!?), cela m'a permis de faire une photo sympa, mais à part ça, tout cela ne casse pas des briques , ça rappelle la démarche de Christo, mais là en brillant...

--> chronique "EXPOS"

jeudi 15 mai 2014

G. Legardinier : "Complètement cramé"... complétement indifférente

Le fameux livre (2012) que tout le monde lit ou a lu ou va lire, avec une couverture sur fond vert montrant un chat hautain dans une casserole en cuivre... Un de ces "feel good" books.
Bon eh bien, cucul la praline, simplet, écriture simplette aussi.
Abandon vers la page 50 : j'aurais pu aller jusqu'au bout sans problèmes car il y a une p'tite histoire et des personnages gentillets. Mais bon, y'a pas que ça à lire, j'avais envie de belle littérature et je me replonge dans Winter's Journal de Paul Auster et les BD Pablo Picasso !

NB : Autre abandon de la semaine : la bande dessinée "Come Prima" d'Alfred, qui a pourtant reçu le fauve d'or 2014 du festival BD d'Angoulême. Le graphisme ne m'a pas du tout plu, totalement rédhibitoire, je ne suis donc même pas rentrée dans l'histoire, qui pourtant promettait d'être intéressante, un road movie entamé par deux frères rapportant les cendres de leur père en Italie, période post-mussolinienne. 

jeudi 8 mai 2014

mon 1er pavot cuvée 2014

A gauche, mon premier pavot en fleur dans toute sa splendeur, pour le premier dimanche de mai.












A droite, le même pavot, 3 jours plus tard après moult pluie et grand vent :
...délavé, à l'aspect encore plus froissé mais toujours vaillant !

Il y a un an, ce n'est que début juin, un mois plus tard donc, que mon premier pavot "2013" fleurissait.



--> D'autres photos des pavots de mon jardin : "Pavots et coquelicots n'aiment pas l'eau"
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