Abandon à la page 28 tout simplement parce que j'ai trouvé ce roman fort mal écrit. Brigitte Kernel écrit à la première personne se glissant dans la peau d'Agatha Christie, et lui fait tenir des propos peu dignes de cette grande dame de l'écriture. Un style simpliste, des répétitions à foison, des réflexions à la limite de la vulgarité (quand Agatha parle par exemple de la maîtresse de son mari).
"J'étais de glace, déterminée." (p.23) - "L'objectif que je m'étais fixé me rendait glaciale." (p.27) : Voilà, c'est comme ça tout le long... Insupportable !
Vraiment une grosse déception car l'histoire m'intéressait : j'en avais eu un charmant avant-goût dans la BD "La vraie vie d'Agatha Christie", autrement plus passionnante et mieux écrite que ce "chapitre disparu" de B. Kernel.
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