Dans le micmac de fleurs desséchées et racornies auquel ressemble mon jardin en plein mois d'août, le plumbago dentelaire parme est l'une des rares à tirer son épingle du jeu aux côtés de mes fidèles gauras, des sauges arbustives, de la superbe (mais je n'en ai qu'un plant...) agapanthe et des indétrônables roses trémières. Ah aussi mes plantes grasses Drosanthème florifère (ou Ficoïde ou Glaciale) elles-aussi originaires d'Afrique du Sud. La phytolaque quant à elle est encore timide...
Toujours à l'oeuvre mais "sur leur fin", les achillées jaunes...
Toujours à l'oeuvre mais "sur leur fin", les achillées jaunes...
Plumbago dentelaire en graines |
Je regrette de ne pas avoir eu le temps de semer les annuelles de l'été... Tous mes géraniums vivaces ont cessé de fleurir et ne reste que le feuillage un peu tristounet.
Je reviens à mon plumbago : c'est une vivace coriace, dont j'avais prélevé quelques plants sur le friche attenant au parking de la gare : c'est tout dire...
Elle produit quantité de fleurs violettes en épis, aux corolles en entonnoir.
La plante, une fois fanée, n'est en revanche pas très gracieuse. Comme les roses trémières qui perdent tout attrait après la floraison et enlaidissent le jardin plus qu'autre chose.
Mon interrogation : est-ce un plumbago capensis (du Cap) ou un plumbago europaea L. ?
--> Chronique "Jardin" et ma page "récap' jardin"...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire