samedi 5 mai 2012

Jardin : Avis de décès Cactus, Avocatiers, Callistémon, Lavande

Avis de décès définitif après cet hiver pour :
- le cactus cierge géant que j'avais osé planter en pleine terre à l'automne dernier puisque mon fiston s'était plaint qu'il piquait trop dans la maison... Pourtant, comme je l'avais bien emmailloté !
Cela dit, le cactus mort a l'air de plaire aux squatteurs du jardin : voir la photo des deux chameaux confortablement nichés sur la carcasse ! et le gendarme !
Escargots squattant
 la dépouille du cactus
 
Gendarme heureux
sur feu le cactus
Notre beau cactus cierge : Avant/Après













- décédés aussi : les 2 bébés avocatiers (issus du simple enterrage des noyaux), mais je m'en vais tenter une opération de la dernière chance "avocado revival" : je vais couper la partie aérienne de la tige et peut-être que le noyau émettra une nouvelle tige ?? Vous tiendrai au courant ! En tout cas, cela ne coûte rien d'essayer.
- hélas trois fois hélas, mon superbe callistémon ("l'arbre à goupillons") est plus grillé qu'un toast (par le froid, s'entend...)
- une lavande sur tige n'a pas passé l'hiver non plus (mais sa consoeur est en forme, ouf !)

En très piteux état :
- les deux lauriers (un rose, un rouge)
- j'aurais rajouté le petit figuier, mais son unique petit bourgeon grossit, et je le couve !

Petits travaux d'entretien :
- Les tulipes et jacinthes ayant fané, j'ai coupé les hampes florales, en ne touchant pas aux feuilles : en effet, la plante se nourrit par les feuilles, il faut laisser ces dernières jaunir avant de couper pour obtenir à nouveau une belle plante l'an prochain. Cela fait un intermède un peu miséreux dans les plates-bandes, mais il faut ce qu'il faut si l'on ne veut pas racheter des bulbes !
- Les branches ou tiges mortes ont été coupées : les plantes ou arbustes sont toilettés après leur sortie de l'hiver.
- Confrontation avec des hordes de chenilles processionnaires du pin : ça gesticulait de partout sur les pauvres branches, à moitié nues ("désépinées !) et devenues oranges. Et cela aussi bien sur le valeureux pin de 2,5 m de haut que sur le conifère bas... Ni une ni deux, j'ai dû sortir l'arme fatale et mettre une giclée à ces sauvages de ravageurs... Et dire que ces chenilles auparavant sévissaient principalement au sud de la France, à présent elles remontent jusqu'au nord... A suivre...

A venir : un billet sur le grand vent de nouveautés qui a quand même agréablement soufflé sur le jardin !
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