La bibliothèque a organisé un vaste "déstockage" : des livres de tous genres déposés ça et là dans la commune, et les passants invités à adopter les ouvrages qui les tentaient. Il s'agit d'ouvrages anciens, ou peu empruntés, ou provenant de dons, ou en doublons...
Et quelle surprise : j'ai recueilli avec plaisir trois livres d'auteurs québécois (1 Antonine Maillet et 2 Félix Leclerc). Pourquoi vous parlé-je de ça ? Tout simplement parce que, précisément, quelque jours auparavant, je m'étais mise en quête de romans québécois...
De la difficulté de trouver des livres québécois... :
En effet, après une période de lectures assez orientées Pays de l'Est et CEI, me voici de retour au Canada et auprès du cher Québec.
Mais quelle déception quand je me suis mise en quête de livres québécois à la bibliothèque, dans les librairies, neuf ou occas' : quasiment aucun auteur québécois dans les rayons...
Je finis là cette parenthèse.
Alors, encore merci à la "biblio" d'avoir eu cette initiative si sympathique, qui requérait beaucoup de disponibilité de la part du personnel, distribuant ça et là livres et revues, charriant les cartons et conseillant le chaland. D'ailleurs, sinon, tout ce travail d'auteurs, tous ces écrits, seraient partis au pilon !
Mais quelle déception quand je me suis mise en quête de livres québécois à la bibliothèque, dans les librairies, neuf ou occas' : quasiment aucun auteur québécois dans les rayons...
Même chez le bien connu "Gibert J...", le responsable du rayon a avoué que, de littérature québécoise, ils n'avaient quasiment rien en neuf si ce n'est Nelly Arcand (mais ils n'en avaient plus d'exemplaire précisément), Nancy Hudson (Québécoise Nancy ? mais non: canadienne francophone de Calgary !), et quelques "Tremblay d'occasion", que j'ai vite raflés.
Rien d'autre : Laberge, Soucy, Poulin, Cousture, Trudel, Archambault etc.... rien de rien.
Pauvre littérature québécoise si les cousins de l'autre bord de l'océan ne peuvent même pas se procurer facilement les ouvrages. Bon, reste la Librairie québécoise et les grandes enseignes ou sur commande : mais tout cela revient cher...Je finis là cette parenthèse.
Alors, encore merci à la "biblio" d'avoir eu cette initiative si sympathique, qui requérait beaucoup de disponibilité de la part du personnel, distribuant ça et là livres et revues, charriant les cartons et conseillant le chaland. D'ailleurs, sinon, tout ce travail d'auteurs, tous ces écrits, seraient partis au pilon !