***** (2020, Ed. Flammarion)
« « On a dit beaucoup de choses de moi mais jamais
que j’étais banal, le Ciel m’en préserve ! » avait un jour lancé le
député pour qui travaillait Antoine. »
Ca me chagrine de me contenter de mettre une seule étoile à ce roman d'Alice Zeniter, mais il serait malhonnête d'en mettre une de plus dans la mesure où ma lecture n'a tenu que jusqu'à la page 65 (sur 393 pages).
Nulle petite étincelle d'intérêt pour les personnages, ni (le début de) l'histoire.
Le récit ultra-documenté a vite pesé sur mon confort de lecture. Trop de détails, trop d'explications sur tout et en continu, en particulier sur les méandres du dark web et les ressorts du hacking. J'en ressortais noyée.
Antoine, l'assistant parlementaire déçu par le système, et L. la jeune étudiante qui devient hackeuse et ne vit plus que pour ça : je me suis arrêtée de lire avant même leur rencontre.
Une grosse déception, je me faisais toute une fête de lire ce nouveau roman d'Alice Zeniter, après l'euphorie ressentie en lisant "L'art de perdre", ce roman magistral ayant l'Algérie pour toile de fond, qui occupe une place de choix dans mes coups de cœur littéraire.
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